Jamais sans mon livre, épisode 40
Aujourd’hui, nous recevons Leila. Jeune femme discrète, d’origine syrienne. Leila est passionnée de lecture depuis son plus jeune âge, et tient probablement cela de sa mère qui a étudié la littérature anglaise.
Leila a choisi le roman La cloche de détresse de Sylvia Plath. Dans cet épisode, elle aborde son besoin de lire régulièrement, mais aussi la nécessité de prendre le temps de se plonger dans la lecture, plutôt que de lire cinq minutes de temps en temps.
Elle avoue avoir commencé à chercher des narrations ou des auteurs qui lui rappellent son vécu et nous cite les BD de Marjane Satrapi ou Ryad Sattouf, mais aussi les romans de Faïza Guène qu’elle a dévorés ou encore ceux de Leila Slimani. Pour elle, la recherche d’auteurs racisés correspond a un besoin « d’être représenté comme n’importe qui et de voir des héros ou des anti-héros qui lui ressemblent ».
Les livres qui ont marqué Leila et qu’elle nous recommande sont « Elena et les joueuses » de Lolita Pille, et « L’attrape cœur » de J.D. Salinger.