D’Angelo, c’est un peu le parrain de Dialna, avant même que le magazine n’existe. En cette semaine un peu spéciale, on revient sur sa place dans l’équipe !
Cette semaine, c’est la semaine du 8 mars, une date importante, pour beaucoup de femmes. C’est en effet la journée internationale des droits des femmes ! Pas la journée des soldes du string ou de la rose sur le bureau offert par Jean-Mi de la compta qui vous regarde avec malice en vous souhaitant bonne fête (soupir and roll eyes). Le 8 mars c’est une journée politique où l’on fait le bilan de la situation des femmes dans le monde !
Pour notre équipe, cette journée c’est aussi une date anniversaire qui se célèbre avec panache. Un 8 mars 2015 à Bruxelles, au lendemain d’un concert de D’Angelo, deux franco-Amazighs de la même tribu se rencontraient pour un brunch dominical juste pour faire connaissance suite à quelques échanges sur Instagram. Après cette matinée, ces deux femmes on créé une puissante relation sororale et plus tard, un webzine en ligne, « Dialna » !
En effet, il s’agit bien de la rencontre entre Nadia et moi :)
Avec Nadia, on s’est toujours dit que D’Angelo était notre parrain officiel ! C’est la volonté divine et un ange de la musique qui ont réuni les futures mamans de Dialna. C’est pour cela que nous lui rendons hommage régulièrement. Notre tout premier son du lundi, c’était déjà lui, avec Lady, issu de son premier album, Brown Sugar. Puis, nous vous avions proposé le sublime Really love sur Black Messiah. Il ne nous manquait plus qu’à mettre en lumière un titre de son deuxième album, Voodoo, avec l’iconique Untitled (How does it feel).
A travers ce son, nous rendons un femmage à toutes les femmes du monde qui sont privées de leurs droits les plus basiques et nous leur souhaitons de trouver la force à travers des amitiés fortes et belles comme la nôtre.
Protégeons-nous, prenons soin de nous et soyons solidaires, car nous vivons dans un monde qui ne nous respecte pas ! Arrêtons de nous juger sur nos apparences, nos statuts sociaux et le pseudo-prestige qui va avec ! Soyons bien au-dessus de ce cirque virtuel, tissons de vrais liens ! Faisons-nous du bien. En regardant ce clip osé pour l’époque et incroyablement bien réalisé par Paul Hunter et Dominique Treni, les clipeurs des années 2000 par excellence ! Et ce bijou de court-métrage doit absolument entrer dans l’histoire du clip tant pour des raisons techniques qu’artistiques !
Merci Nadia pour ton écoute, ta brillance, ton humour, et surtout de m’avoir présenté Marie Da Sylva ! Merci la vie de nous mettre sur notre chemin des gens qui nous poussent à être la meilleure version de nous-même ! Merci D’Angelo d’avoir attiré Nadia vers Bruxelles. Tout a commencé là ! Vive nous <3 ! Vive les femmes.
« C’est de la sexualité pure. D’Angelo, musclé et étincelant, est filmé à partir des hanches, nu, avec juste ce qu’il faut pour susciter un désir lent et brûlant chez la plupart des femmes qui le voient. La vidéo à elle seule pourrait faire de cette chanson l’une des plus grandes de l’année à venir ».
Bilboard Magazine Clip qui a reçu trois nominations aux MTV Video Music Awards 2000, dont celle de la vidéo de l’année, de la meilleure vidéo R&B et de la meilleure vidéo masculine.