[Podcast] Les Conversations Dialna #7 : Que nous reste-t-il de notre identité Amazigh ?

Dialna - Les conversations Dialna #7

Bienvenue dans les conversations Dialna #7 ! Pour ce nouvel épisode, nous revenons à quatre voix, après deux numéros hors-série, mais avec un dispositif différent.

Vu la situation, on a décidé pour le moment de proposer une conversation dans l’ère du temps, en distanciel. Et puis nos deux invitées n’étant pas sur Paris, cela coulait de source ! On s’excuse par avance pour la qualité sonore et visuelle de cet épisode…

On va bien sur regretter le confort du Studio Majorelle, ainsi que leur aide précieuse pour la réalisation, en espérant y retourner très prochainement. Du coup, on est chacune chez soi, mais tout de même ensemble pour parler de l’identité Amazigh.

Mais que nous reste-t-il de notre identité Amazigh ? Être amazigh, c’est parfois avoir l’impression d’être une minorité dans la minorité, Pourtant, la culture et le peuple Amazigh sont intimement liés au nord du continent africain. Dans notre première conversation, on discutait des termes qu’on utilisait pour se définir :  Arabes, Maghrébins, Nord-Africains, mais aussi Imazighen, Arabisés, colonisés. Alors, en tant que descendants d’immigrés, qu’avons nous gardé, hérité de cette culture ?

Pour en discuter nous recevons deux invitées. Kawtare Byhia est une chercheuse, doctorante française, habitant à Yaffa, qui travaille sur la transmission de la culture Amazigh. Carima Amarouche, dite Karimouche est une artiste multi-talents, dont on vous avait déjà parlé ici, avec son titre Princesses. Chanteuse, comédienne, costumière, et danseuse, elle a sorti en janvier 2021 un album intitulé Folies Berbères. Le dernier morceau clipé, c’est Apocalypse Now.


Les recommandations culturelles pour cette conversation sont assez nombreuses, préparez-vous :

  • Kawthar nous a recommandé le livre We are Imazighen de Fazia Aitel, les documentaires de Nadia Zouaoui : Le voyage de Nadia et L’Islam de mon enfance, et également le groupe Aza.
  • Karimouche, elle, a voulu mettre en avant le groupe mythique des Soeurs Djurdura.
  • Nora ne pouvait pas passer à côté de notre légende Fatima Tabaamrant dont elle nous avait déjà parlé dans un superbe article. Elle nous recommande également le compte Instagram d’illustrations féministes, Berbere Woman.
  • Nadia a choisi de parler du collectif décolonial, anti-raciste et féministe Imazi.Reine, en particulier, le documentaire Ma grand-mère n’est pas une féministe de sa fondatrice, Fatima-Zohra Ait El Maâti, mais aussi de la marque de bijoux Berberism, et de la créatrice de Maison La Petite Kabyle.

Les Conversations Dialna se regardent aussi sur Youtube !

 

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