[Podcast] Les conversations Dialna : #1 Quel(s) terme(s) pour définir notre identité ?

Dialna - Identité

La question de notre identité complexe nous a donné envie d’aller plus loin qu’un article, ou un billet d’humeur. Alors quand l’occasion s’est présentée d’enregistrer un podcast, l’équipe de Dialna s’est tout de suite dit que ce serait la thématique parfaite pour une première. Alors, cette semaine, on vous propose donc notre podcast « Les conversations Dialna », une nouveauté qu’on espère pouvoir vous proposer plus régulièrement dès l’année prochaine !

Avec ce magazine et ces conversations, on avait envie de créer un espace à nous, pour aborder des sujets qui nous concernent, mettre en avant des parcours qu’on ne voit pas ailleurs. Là où notre magazine tient à donner la parole aux personnes issues des minorités, de l’immigration post coloniale, au sens large, on s’est dit que pour ces conversations, on tenterait de rester entre nous. Entre femmes d’origine nord africaine. Et même si on adore discuter toutes les deux, on a tout de même décidé d’accueillir d’autres femmes avec nous. 

Aujourd’hui, on va essayer de se définir. Qui sommes nous ? Sommes nous des arabes ? Des maghrébins ? des Nord Africains ? Cela a t il même du sens de se poser la question, ici en contexte français ? Pour nous aider à y voir plus clair, nous avons invité deux femmes talentueuses pour converser avec nous. La première est réalisatrice de documentaires. Il s’agit de Keira Maameri, dont on vous déjà parlé sur Dialna, ainsi que de son dernier film Nos plumesLa deuxième est la plus jeune, et nous vient de Marseille. Il s’agit de la journaliste Soukaïna Skalli, également co-fondatrice de Choof Médias.

Dans cet épisode, nous avons évoqué le collectif Nta Rajel ?  et leur évènement du 14 décembre : Identités nord-africaines:au-delà des représentations coloniales.

Pour les recommandations culturelles de l’équipe :

  • Keira Maameri a choisi de parler du documentaire en trois parties Mémoires d’immigrés de Yasmina Benguigui.
  • Nora Noor a choisi de nous parler de deux street artistes marocaines : Roksyone et Drobys1

 

Notre conversation se regarde aussi sur Youtube !

 

Nous remercions très chaleureusement le nouveau Studio Majorelle qui nous a très bien accueillies pour cette première expérience. Si vous êtes des créatrices/eurs indépendants de podcast, que vous n’avez pas le matériel ni les compétences techniques nécessaires mais que vous voulez quand même vous lancer, le Studio Majorelle est la meilleure option pour vous. Ils ouvrent officiellement fin janvier 2020, et vous proposent les meilleures conditions pour votre projet, et en plus, vous avez le droit à une captation vidéo de votre podcast. Ils offrent le premier enregistrement, et vous proposent ensuite des sessions d’enregistrement à 44€, ou un abonnement à 97 € par mois, pour enregistrements illimités.

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1 commentaire

  1. […] Pourtant, la culture et le peuple Amazigh sont intimement liés au nord du continent africain. Dans notre première conversation, on discutait des termes qu’on utilisait pour se définir :  Arabes, Maghrébins, […]

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